Francis SCHILLINGER

Chère Danielle, chère famille,
Notre peine est grande. Nos condoléances si ce mot a du sens.
Francis, mon ami, mon vieil ami, hors du temps. Un pan de vie s’estompe. Des peines, des joies, l’envol du Freppel à la fac. Ta première voiture. Des rêves et de la passion. Un monde détricoté et refait. Des soirées et des journées, étudiantes. Tu savais le prix de l’effort, tu avais le sens de l’éthique. Travail, tolérance, solidarité, tes valeurs. Tu savais répondre. Tu as répondu. Tu es assurément une belle personne, mon ami.

Nous présentons nos condoléances à toute la famille.
Nous garderons le souvenir d'un homme accueillant, bienveillant et généreux.

Ma chère Danielle,
Impossible pour Christiane et moi-même de nous trouver à tes côtés ce mercredi 28 mai, pour accompagner Françis et la famille. Nous en sommes désolés. Toutefois sur le coup de 15H,
nous aurons une pensée toute particulière en sa direction.
C'était mon parrain en 1993, quand je suis arrivé au Kiwanis Chrétien de Troyes. Une complicité existait entre nous,
pour faire des blagues, notamment aux Kiwaniens.
Homme cultivé et intelligent qui a apporté de la bienveillance et de la compétence, dans sa profession, comme dans sa vie de tous les jours, au service des ses semblables.
Avant ses misères de santé, nous avons passé des moments de partage, que nous n'oublierons pas. Entre Kiwaniens, en réunion et notamment lors des spectacles qui nous rassemblaient.
Egalement entre nous lors de repas partagé en bonne compagnie à St André-les Vergers.
Votre visite à Vallauris à l'occasion de l'anniversaire, restera dans nos mémoires et dans notre cœur.
Le hasard fera que nous serons à Sarzeau fin juin pour retrouver des amis de longue date. C'est un rendez-vous programmé depuis plus de 9 mois.
Est-ce que nous pourrions rendre un hommage à Françis à cette occasion et te rendre visite en même temps, chère Danielle.
De tout cœur avec toi et toute la famille, durant ce douloureux passage.
Nous t'embrassons bien affectueusement.
Christiane et François Devertu 06 87 74 88 24
A suivre ta réponse pour fin Juin.

Cher Francis,
La nouvelle de ta soudaine disparition nous a frappés au coeur par sa brutalité et nous rappelle douloureusement la fragilité de notre condition humaine.
Nos affectueuses pensées accompagnent ta famille, nous partageons son chagrin et nous lui présentons nos sincères condoléances.
Mais comme le dit le poète, les êtres chers ne disparaissent pas, ils continuent de briller dans nos cœurs.
Nous garderons en mémoire les moments joyeux partagés avant que la maladie n’entame son lent et irréversible processus, au temps des fêtes de famille animées ou encore des parties de tennis mémorables par notre aptitude à produire parfois du jeu aussi peu académique qu’improbable, toujours ponctué par tes grands éclats de rire.
Comme lors de cette visite à Troyes et après un déjeuner sans doute un peu trop arrosé, où nous avons été punis de notre témérité dans le double qui a suivi, en cherchant désespérément à renvoyer de l’autre côté du filet la petite balle jaune qui s’entêtait à vouloir fuir notre raquette !
Nous n’oublierons pas non plus ton côté chaleureux, la bienveillance avec laquelle tu savais prêter l’oreille aux soucis et problèmes des autres et participer de manière calme et douce, réfléchie et enrichissante aux discussions du jour sur les sujets les plus divers comme la marche du monde ou les récents résultats de foot…
Avec toute notre compassion à Dany, Sandrine, Aude et la famille.
L’absence de l’être aimé est lourde à porter, mais nous ne t’oublierons pas, cher Francis.
Affectueusement, Guy et Myriam